«Pendant la nuit, le train avait eu de grands retards entre Pise et Cività Vecchia, et il allait être neuf heures du matin lorsque l’abbé Pierre Froment, après un dur voyage de vingtcinq heures, débarqua enfin à Rome. Il n’avait emporté qu’une valise, il sauta vivement du wagon, au milieu de la bousculade de l’arrivée, écartant les porteurs qui s’empressaient, se chargeant lui-même de son léger bagage, dans la hâte qu’il éprouvait d’être arrivé, de se sentir seul et de voir.»
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