«I Vers le commencement de juillet 1870, après une journée de soleil sans nuages, la petite ville picarde de Verval-sur-Orle, si calme et si riante, s'ouvrait à l'air tiède du crépuscule, où déjà flottait une caressante fraîcheur. Et, tandis que les flammes du couchant s'éteignaient en lentes dégradations de lumière, en vastes nappes orangées, en glacis d'un vert tendre et limpide, en fines ombres violettes, la lune montait à l'orient dans l'éther pur, baignant d'une sereine blancheur les coteaux boisés, les champs de blé et de seigle, les prairies, les jardins, les maisons à demi cachées dans le feuillage.»
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