«Simon Goulart en envoyant à son frère Jean Goulart un volume de son Thrésor des histoires admirables et mémorables lui dit: «Ce sont pieces rapportees et enfilees grossièrement ausquelles je n'adjouste presque rien du mien, pour laisser à vous et à tout autre debonnaire lecteur la meditation libre du fruit qu'on en peut et doit tirer. Dieu y apparoit en diverses sortes près et loin, pour maintenir sa justice contre les coeurs farouches de tant de personnes qui le regardent de travers; item pour tesmoigner en diverses sortes sa grace à ceux qui le reverent de pure affection.»
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