Cette édition classique a été convertie par eBooksLib.com. «Mes chers enfans : ma femme, votre digne et bonne mère (dont Dieu aye l'âme dans son sein paternel) ayant jusqu'à la mort gardé intact le dépôt des lettres de sa bellesoeur Ursule, ce n'a été que prête à rendre l'âme, qu'elle me l'a remis. Au dernier voyage que j'ai fait à Paris, pour y voir le comte mon neveu, et lui exposer les fruits de notre administration d'Oudun, et de ses bienfaits, je l'ai prié aussi de voir, s'il ne trouverait pas dans les papiers de feue sa pauvre mère (que Dieu lui fasse paix et miséricorde), quelques lettres qui pussent me servir à vous donner d'utiles leçons, et sur-tout de celles de votre bonne mère.»
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